Nous subissons un bashing quotidien depuis six mois pleins.
on voit toujours une affaire contre nous en file. Et a cote de i§a, ils font aussi plusieurs tweets par jour de plusieurs bonzes du journalisme plus ou moins en detresse de notoriete, les agents des communautes qui debitent leurs points de langage, l’extreme droite et ainsi d'affilee. Tant de personnel se bouscule au portillon pour nous salir ! Sans compter les humiliations et nos mepris dont nous accablent nos chapelles de la toute « petite goche ».
De cela, voyons le bon cote. En six mois de bashing ininterrompu, j’ai bon nombre appris concernant l’art une guerre politique sous un deluge de votre nature. Et je ne suis jamais seul. Nous sommes devenus plus forts, plus experimentes. Nous maitrisons mieux les temps de reponse a une attaque. Nous parons mieux les coups surtout sur le plan psychologique. Encore que chacun n’y arrive jamais aussi bien, c’est grand. Nous avons appris comment porter plainte, reclamer beaucoup, jusque contre nos tweets. Nous savons mieux ne point repondre souvent, laisser filer et ne pas nous laisser submerger par la haine qui est i chaque fois une victoire de l’ennemi. Nous nous ameliorons : une capacite a rejeter bien cela vient d'la caste mediatique reste plus profond et mur. Di?s que, le lendemain de l’emission ONPC avec Quatennens, « France info » ne « retient » que l’echange dans le Venezuelaaaaa, apres avoir beaucoup ri, on reconnait mon tour a l’?uvre. Dommage qu’on n’ait jamais parle du papier hygienique dans votre pays.
Tout i§a ne nous fait donc jamais perdre de vue l’essentiel.
Il s’agit de la lutte pour le i?tre capable de. Les neufs milliardaires payent cher Afin de qu’une armee de plumes et de lecteurs de prompteurs jaspinent dans les micros des derniers ragots qui peuvent etre degaines. L’ampleur une decomposition morale et professionnelle de la profession a meme mis a notre disposition un large reseau d’informateurs dans le poste. Car les m?urs deleteres des principales salles de redactions rendent aussi l’atmosphere irrespirable en interne. N'importe qui n’est gui?re pret a tout. Ca balance i fond, comme ils disent ! Surtout au « service public de l’information » considere comme une « honte nationale » avec le president d'une Republique Macron.
Si la motivation personnelle des gens qui acceptent une aussi basse besogne m’echappe, le sens d'une man?uvre reste lui beaucoup net. Tout ce qui n’arrive pas autrement que tel 1 episode a l’interieur d’une bataille globale. La semaine passee temoignait d’une situation particuliere. Le pouvoir et ses soutiens mediatiques entraient en panique. L’indepassable roi de l'univers, le president d'la Republique, pourtant encense a longueur de journee, a sombre en sondages. Notre plus bas niveau de le debut de la cinquieme Republique a epoque comparable. Notre meute, avec ou sans coup de fil des chefs supremes, se mit en mouvement dans une ligne d’offensive a front de b?uf : « Notre premier de cordee va mal. Tapons sur les premiers de banc adverses » ! Le JDD, messe du dimanche du macronisme, decrit en toutes lettres la man?uvre contre la FI : « ils auraient pu avoir votre boulevard mais ils ont echoue ». Et ce parce qu’ils ont butte dans votre « nid de poule » : des soupcons de surfacturation lors d'la derniere campagne presidentielle evoques cette semaine sur « France Info ». Et voila toute la man?uvre mise en mots.
De son cote, l’opposition de droite et nous avons pris de plein fouet deux « revelations » qui etaient de purs montages. Des rentre-dedans qui, bien sur, ont un impact immediat de salissure. Et de panique a bord. C’est incontestablement efficace via la sphere la plus vulnerable de chaque camp, les esprits impressionnables, les moutons de Panurge que la peur du loup fait sauter dans le vide. Mais le fond reste stupide. Car nos esprits construits voient vite des ficelles et un endurance au feu d’insultes s’accroit en aussi temps que la haine des manipulateurs mediatiques. Je tire beaucoup d’autres conclusions de cet episode. Mais je viens d’abord sur le tableau d’ensemble.